Depuis le temps que nous correspondions par la messagerie de Fessestivites, Chris et moi avons enfin convenu d’un rendez-vous dans son sex-shop préféré.

Arrivé le premier, je m’étais installé dans une cabine, me branlant à poil et porte ouverte devant un quelconque film de cul. Personne n’étant venu me mater, je suis sorti, toujours à poil et en train de me branler, dans le couloir menant à la salle de projection. À son arrivée, Chris m’a découvert ainsi et, vite à poil lui aussi, nous sommes entrés dans la salle de projection où, sur les vastes banquettes, se trouvaient seulement trois types habillés, matant un ordinaire film de baise, un seul avait la bite à l’air, en train de se l’astiquer. Notre nudité n’a semblé ni les gêner ni les intéresser.

Offrant mon cul, je me suis fait fister bien à fond aussi longtemps que Chris en a eu envie. J’ai ensuite voulu lui rendre la pareille et mon ami m’a présenté son fion en écartant bien les fesses à deux mains mais, malgré son désir, mon insistance et une bonne dose de lubrifiant, ma main de paysan limousin n’est pas parvenue à franchir son sphincter insuffisamment rodé.

Un autre client est alors arrivé, bien habillé et qui, apparemment peu intéressé par les ébats projetés sur l’écran, nous a matés avec intérêt, de près et sans complexe. Flatté, je lui ai proposé de nous photographier avec l’appareil que j’avais apporté ; il l’a voulu bien volontiers. À peine le temps de prendre deux photos et l’appareil ne voulut plus rien savoir : batterie déchargée, ce qui ne m’était jamais arrivé, pas de chance.

Pour profiter pleinement de cette rencontre, nous nous sommes pompé les bites, enculés, léché les culs et branlés en nous retenant de jouir, le tout sous l’œil du seul spectateur apparemment intéressé par nos ébats. Peut-être, les autres nous jetaient-ils un regard en coin, nous étions trop dans notre action pour les surveiller.

J’ai demandé à Chris la gâterie que je préfère, sa langue active bien au fond de mon cul, ce qu’il a fait avec empressement en me flattant les couilles comme j’aime, tandis que je me branlais frénétiquement jusqu’à lui emplir la bouche de mon jus bien chaud.

Chris n’ayant guère de temps disponible, nous en sommes restés là et je suis parti le premier, le laissant à poil, cuisses largement écartées, en train de se branler sur une banquette devant l’écran.

J’espère pour bientôt une nouvelle rencontre Fessestive ; cette fois mon appareil sera prêt pour de nombreuses images dont pourront profiter tous les amis de Fessestivites.